Acryliques sur toile (24 x 33 cm) associée à un lecteur sonore qui diffuse un enregistrement chanté interprété par l’auteur. (ARC 90-89)

Texte figurant sur la toile: «A partir de 1971, entre autres œuvres régies par la polythanasie esthétique dont je rendais compte dans « Situation de mes apports dans le polythanasie esthétique », j’ai été conduit à remplacer la représentation visuelle des multi-signes de mes hypergraphies par la seule description énoncée oralement de ces mêmes signes.

Enregistrée, cette réalisation a été interprétée par moi-même sur le plan vocal continu du langage parlé.

Ici, comme une nuance inédite et afin d’explorer le champ complet des capacités expressives de mon appareil phonatoire, je propose de reprendre les descriptions initiales de ces premières réalisations et de les interpréter, cette fois, sur le mode vocal discontinu de l’élévation des sons en hauteur qui est celui du chant et de la musique.

Reconnaissons qu’il est moins triste de détruire l’art en chantant.

Enfin, il me semble que cela devait être fait !»

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